La nef romane, dont le collatéral sud a disparu, a été dotée d’une chapelle au XVe s. et percée de fenêtres en 1925. Elle s’ouvre sur le chœur par un grand arc en plein cintre surhaussé et doté de voûtes d’ogives archaïques " qui sont parmi les plus impressionnantes de Normandie et datent apparemment du second quart du XIIe siècle ".
- Musset, Lucien., Normandie romane, 2. Haute-Normandie, La Pierre-qui-Vire : Zodiaque 1974, p. 28-29